Bonjour Expatriate ! Qui est Ben? Et Dave ? OK, on va pouvoir commencer tout de suite, en parlant dans un premier temps de la sortie de votre nouvel album, In The Midst of This , le 5 octobre en France. Comment vous sentez-vous à quelques semaines seulement de cet évènement ?
Ben : Excités, très excités, dautant plus sachant quon tourne en France en première partie de Placebo. Nous avons également joué lors dun festival à désolé pour ma prononciation- Arras, et la réaction du public a été tellement bonne, on a eu de très bons retours par Myspace puisque de nombreux Français nous ont ajouté comme amis.
Quelle a donc été votre impression vis-à-vis de vos fans français, puisque cette date à Arras était la première en France?
Ben : Ils ont tout simplement eu la meilleure réaction quon ait jamais connue !
Vraiment ? Comment ont-ils réagi justement avec les nouvelles chansons?
Ben : Très bien et surtout rapidement, très rapidement.
Pensez-vous alors que lalbum va avoir autant de succès quen Australie?
Ben : Je lespère! En vérité, je pense que le fait quon tourne avec Placebo peut nous y aider, puisque notre musique peut séduire leurs fans. Les groupes dans le genre de Placebo semblent avoir du succès ici, donc nous espérons que les Français vont nous apprécier pour les mêmes raisons, on va dire, qui font quils les aiment.
Jespère que vous apprécierez votre tournée, vous allez voir quen France nous savons accueillir les groupes de rock comme il se doit ! Dailleurs, vous savez dire quelque chose en français ?
Ben : Merci, laddition! Nous y travaillons, même si pour linstant on sessaie surtout à lallemand. Dave est un spécialiste des langues
Dave : je me suis bien mis à lallemand, maintenant je vais matteler à la langue française ; la prochaine fois, on devrait être capables de parler en français.
Vous allez tourner avec Placebo, et ça a lair de vous faire plaisir, mais pourquoi ? Parce que vous aimez ces mecs et leur musique, ou parce quils représentent une opportunité pour vous faire connaître en France ?
Ben : On est des grands fans de Placebo, jai été très influencé pour ma part par Without You Im Nothing. Nous so
Ben : Excités, très excités, dautant plus sachant quon tourne en France en première partie de Placebo. Nous avons également joué lors dun festival à désolé pour ma prononciation- Arras, et la réaction du public a été tellement bonne, on a eu de très bons retours par Myspace puisque de nombreux Français nous ont ajouté comme amis.
Quelle a donc été votre impression vis-à-vis de vos fans français, puisque cette date à Arras était la première en France?
Ben : Ils ont tout simplement eu la meilleure réaction quon ait jamais connue !
Vraiment ? Comment ont-ils réagi justement avec les nouvelles chansons?
Ben : Très bien et surtout rapidement, très rapidement.
Pensez-vous alors que lalbum va avoir autant de succès quen Australie?
Ben : Je lespère! En vérité, je pense que le fait quon tourne avec Placebo peut nous y aider, puisque notre musique peut séduire leurs fans. Les groupes dans le genre de Placebo semblent avoir du succès ici, donc nous espérons que les Français vont nous apprécier pour les mêmes raisons, on va dire, qui font quils les aiment.
Jespère que vous apprécierez votre tournée, vous allez voir quen France nous savons accueillir les groupes de rock comme il se doit ! Dailleurs, vous savez dire quelque chose en français ?
Ben : Merci, laddition! Nous y travaillons, même si pour linstant on sessaie surtout à lallemand. Dave est un spécialiste des langues
Dave : je me suis bien mis à lallemand, maintenant je vais matteler à la langue française ; la prochaine fois, on devrait être capables de parler en français.
Vous allez tourner avec Placebo, et ça a lair de vous faire plaisir, mais pourquoi ? Parce que vous aimez ces mecs et leur musique, ou parce quils représentent une opportunité pour vous faire connaître en France ?
Ben : On est des grands fans de Placebo, jai été très influencé pour ma part par Without You Im Nothing. Nous so
mmes devenus amis par le biais des tournées, et le fait dêtre gérés par le même management a également aidé. Nous aimons leur musique, ils aiment la notre, et ça marche entre nous. On ne les a pas forcés à nous prendre en première partie.
Dave : Non, en fait, on jouait avec eux en Roumanie, et après le concert, on était en train de prendre un verre avec eux, et là Brian sest levé en disant « Ecoutez tous, je voudrais faire une annonce ! Nous voulons juste dire à Expatriate que nous aimons vraiment votre groupe, et nous voulons vous inviter officiellement comme première partie sur notre tournée française. »
Sympa, vous allez donc certainement vous éclater pendant la tournée. Parlons maintenant de votre EP Home, sorti en France il y a quelques mois et dont le titre semble être un écho au nom du groupe, Expatriate. Y a-t-il un endroit où vous vous sentez véritablement chez vous ?
Ben : Cest une bonne question. En partant pour lEurope, nous avons tout laissé en Australie: la famille, les amis, les animaux de compagnie Cela fait 8 mois maintenant que nous sommes installés à Berlin, dici quelques années on devrait sy sentir vraiment chez nous. Cela nous plairait aussi de vivre à Paris, mais la vie y est tellement chère !
Dave : Honnêtement, quand on revient à Berlin après une tournée, quon pose les sacs dans notre grand appartement, on se dit « Cest bon, on est à la maison ».
Votre nouvel album sappelle In the Midst of This (« Au milieu de cela »), mais au milieu de quoi ?
Ben : Au milieu de ce que tu veux ! Non, sérieusement, quand on a trouvé ce titre je menais une vie très intense, au niveau de mes relations, mais aussi avec le groupe qui était très prenant, cétait de la folie ! Et ça me semblait assez approprié de rappeler par ce titre tout ce tourbillon de la vie, cette ambiance un peu folle au milieu de laquelle nous nous trouvons.
Votre album est très énergique, et compte donc des titres qui semblent conçus pour la scène. Vous considérez-vous plutôt comme un groupe studio ou live ?
Ben : Pour linstant je pense quon est plutôt un groupe live, mais jimagine quavec le temps nous apprécierons plus le studio. Déjà lenregistrement de In The Midst of This a été un déclic pour nous qui étions beaucoup plus un groupe de scène.
Dave : Non, en fait, on jouait avec eux en Roumanie, et après le concert, on était en train de prendre un verre avec eux, et là Brian sest levé en disant « Ecoutez tous, je voudrais faire une annonce ! Nous voulons juste dire à Expatriate que nous aimons vraiment votre groupe, et nous voulons vous inviter officiellement comme première partie sur notre tournée française. »
Sympa, vous allez donc certainement vous éclater pendant la tournée. Parlons maintenant de votre EP Home, sorti en France il y a quelques mois et dont le titre semble être un écho au nom du groupe, Expatriate. Y a-t-il un endroit où vous vous sentez véritablement chez vous ?
Ben : Cest une bonne question. En partant pour lEurope, nous avons tout laissé en Australie: la famille, les amis, les animaux de compagnie Cela fait 8 mois maintenant que nous sommes installés à Berlin, dici quelques années on devrait sy sentir vraiment chez nous. Cela nous plairait aussi de vivre à Paris, mais la vie y est tellement chère !
Dave : Honnêtement, quand on revient à Berlin après une tournée, quon pose les sacs dans notre grand appartement, on se dit « Cest bon, on est à la maison ».
Votre nouvel album sappelle In the Midst of This (« Au milieu de cela »), mais au milieu de quoi ?
Ben : Au milieu de ce que tu veux ! Non, sérieusement, quand on a trouvé ce titre je menais une vie très intense, au niveau de mes relations, mais aussi avec le groupe qui était très prenant, cétait de la folie ! Et ça me semblait assez approprié de rappeler par ce titre tout ce tourbillon de la vie, cette ambiance un peu folle au milieu de laquelle nous nous trouvons.
Votre album est très énergique, et compte donc des titres qui semblent conçus pour la scène. Vous considérez-vous plutôt comme un groupe studio ou live ?
Ben : Pour linstant je pense quon est plutôt un groupe live, mais jimagine quavec le temps nous apprécierons plus le studio. Déjà lenregistrement de In The Midst of This a été un déclic pour nous qui étions beaucoup plus un groupe de scène.
Mais les concerts sont bien ce que lon aime le plus dans notre boulot, on est des bêtes de scène !
La concurrence doit être rude sur la scène rock; quelle est votre différence par rapport aux autres groupes du genre ?
Ben : Bonne question! On est super beaux, on ne joue jamais mal, et toujours de manière très fun ! Non, plus sérieusement, je pense, sans vouloir paraître arrogant, que lon donne tout dans notre musique, quon est les plus généreux possible avec le public, et quon a une bonne collection de titres pop-rock à notre actif.
Cest tout bon pour un si jeune groupe. Dailleurs, quattendez-vous de lavenir ?
Ben : Nous avons eu la chance de pouvoir nous produire en Europe, nous ne faisons pas de tournée en Alabama ou dans le Missouri, non, nous voulions vraiment venir en Europe ! Et peut-être lannée prochaine nous pourrions retourner à Paris, pour jouer devant des milliers de gens, et avoir assez dargent pour y vivre. Même si ça a été dur de tout laisser en Australie, cela a changé notre vie, et on va essayer de réussir au mieux dans notre domaine.
Mais vous revenez souvent en Australie ?
Ben : Nous ny sommes pas retournés depuis novembre dernier, date de notre installation à Berlin, cela fait donc 8 mois. Mais nous pensons y passer lannée prochaine, faire une tournée et des festivals à partir du mois de mars, même si rien nest encore vraiment établi. Nous aimons lEurope, nous y avons un très bon public, donc nous ne comptons pas en partir avant un moment !
Peut-être lEurope représente-t-elle plus une opportunité dans votre style musical ; on connait surtout lAustralie pour le hard-rock, avec des groupes comme AC/DC, Airbourne
Ben : Ah oui, Airbourne, on les connait, ils sont marrants ! Et leur technicien du son adore le death metal, nous nous sommes retrouvés pendant une journée dans un van avec lui, avec sa musique à fond (Ben tente de chanter en gruik, rires). Mais cest vrai que les Européens semblent plus apprécier notre style de musique, quand en Australie on aime peut-être des choses plus burnées.
Et vous, vous écoutez quoi en ce moment ?
Ben : Oh, de la dance-music, ou encore des groupes dans le style de Depeche Mode. Il marrive aussi découter ma musique, et ça me fait plaisir, jaime bien.
La concurrence doit être rude sur la scène rock; quelle est votre différence par rapport aux autres groupes du genre ?
Ben : Bonne question! On est super beaux, on ne joue jamais mal, et toujours de manière très fun ! Non, plus sérieusement, je pense, sans vouloir paraître arrogant, que lon donne tout dans notre musique, quon est les plus généreux possible avec le public, et quon a une bonne collection de titres pop-rock à notre actif.
Cest tout bon pour un si jeune groupe. Dailleurs, quattendez-vous de lavenir ?
Ben : Nous avons eu la chance de pouvoir nous produire en Europe, nous ne faisons pas de tournée en Alabama ou dans le Missouri, non, nous voulions vraiment venir en Europe ! Et peut-être lannée prochaine nous pourrions retourner à Paris, pour jouer devant des milliers de gens, et avoir assez dargent pour y vivre. Même si ça a été dur de tout laisser en Australie, cela a changé notre vie, et on va essayer de réussir au mieux dans notre domaine.
Mais vous revenez souvent en Australie ?
Ben : Nous ny sommes pas retournés depuis novembre dernier, date de notre installation à Berlin, cela fait donc 8 mois. Mais nous pensons y passer lannée prochaine, faire une tournée et des festivals à partir du mois de mars, même si rien nest encore vraiment établi. Nous aimons lEurope, nous y avons un très bon public, donc nous ne comptons pas en partir avant un moment !
Peut-être lEurope représente-t-elle plus une opportunité dans votre style musical ; on connait surtout lAustralie pour le hard-rock, avec des groupes comme AC/DC, Airbourne
Ben : Ah oui, Airbourne, on les connait, ils sont marrants ! Et leur technicien du son adore le death metal, nous nous sommes retrouvés pendant une journée dans un van avec lui, avec sa musique à fond (Ben tente de chanter en gruik, rires). Mais cest vrai que les Européens semblent plus apprécier notre style de musique, quand en Australie on aime peut-être des choses plus burnées.
Et vous, vous écoutez quoi en ce moment ?
Ben : Oh, de la dance-music, ou encore des groupes dans le style de Depeche Mode. Il marrive aussi découter ma musique, et ça me fait plaisir, jaime bien.
interview réalisée par Gyroscope
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