Alberta
Cross fait du rock de stade, medium tempo. Imaginez un festival énorme, des murs de Marshall, des litres de bière, du soleil dans les champs, de la boue, l’odeur des grillades, des rires gras, de l’humour potache, des centaines de pogoteurs.
L’album est joué comme il devrait être joué en concert. Il s’ouvre sur «
Three song blues » et « ATX » qui sont deux bonne chansons d’intro, assez entrainantes pour bien démarrer le set. Pour donner le ton. S’ensuit le pont entre le début du set et le démarrage des chansons importantes, le gros du show. C’est l’ellipse, les chansons qu’on écoute d’une oreille distraite, qui ne sont pas vraiment accrocheuses mais permettent de montrer au spectateur qu’on ne veut pas tout lui dévoiler. Pas encore. Il y a « Taking control » et « Old man
Chicago » la chanson hippie, qu’on est bien dans la campagne avec tous ses copains, c’est leur côté ricain vieille époque période CSNY et The Band. On ne renie pas ses origines.
On arrive à la deuxième partie du concert. Là où l’identité du groupe se dévoile, la partie où l’on sait à postériori si le concert était réussi. «
Broken Side of Time », des paroles chantées sur fond de piano avant l’explosion agressive des guitares tendues sur fond de brouillon. De l’épique. Une chanson pour exploser. Puis « Rise from the shadows » et l’on sait qu’enfin Alberta
Cross est dans son élément, dans son essence. Cette chanson vénéneuse, au chant fantomatique, au riff de basse élémentaire nous plonge dans un marais brumeux aux couleurs pourpres. Tout le reste de l’album suit cette voie. Alberta
Cross s’y révèle, et l’on comprend enfin le charisme d’un groupe qui ne triche pas. Contrairement à ces petits branleurs de Kings of Leon.
Chaque chanson s’intègre à l’album avec une grande cohésion, et bien que l’on ai du mal à les distinguer les unes des autres, cela n’est pas dérangeant. Cela n’agresse pas l’oreille.
Il serait de bon goût de conjuguer les drapeaux anglais et américain pour un concert géant des deux plus grands groupes de stade de la planète,
Kasabian et Alberta
Cross. Qui sera en première partie ? Ne soyez pas si sûr de vous…
J'ai sans aucun doutes des lacunes en rock contemporain, mais ce n'est certainement pas en lisant tes textes vides que je vais les combler.
Allez laisses tomber, tes textes sont nuls (et à priori je ne suis pas le seul à le penser, vous avez décidé de ne jamais prendre en compte l'opinion de ceux qui vous lisent, c'est bien, tant pis.
Continuez donc à vous auto émulsionné avec des termes qui n'existent pas, et continuez donc à faire régresser sor vers toujours moins de qualité, toujours moins de visiteurs. J'ai fais des recherches et à part toi et quelques bobos branchés, personne n'utilise vraiment le terme de rock de stade. Ce qui est logique, puisque ça ne veut rien dire. J'aimerais assez, d'ailleurs, puisque ça éxiste, que tu me donnes quelques liens traitant du sujet. Parlant de l'historique du rock de stade. Me disant quels en sont les influences majeurs...
J'use peut-être des mots pédants, mais au moins ils ont un sens. Et venir me raconter que les Rolling Stones sont de la musique pour pseudo-rockers et qu'alberta cross c'est de la musique de stade au gros son (arfarfarfarf), c'est juste de l'inculture, de l'incompétence, de la débilité profonde...
Continues à écrire de la merde si ça te chantes, continues à ne pas prendre en compte l'avis de ceux qui (malheureusement) te lises, continues à penser que le rock / pop mièvre c'est trop cool (lol), continues à penser qu'historiquement le rock est né au delà des années 2000 et qu'avant nul référence n'a d'importance, continues à être idiot, pour moi c'est parfait...
Je ne sais pas écrire, mais j'ai au moins appris qu'après un point, en commençant une nouvelle phrase, on entame par une majuscule.
Considérer les Beatles, Jimmy Hendrix, les Doors, Deep Purple, les Stones comme des références c'est être inculte? Alors je le suis de toute mes forces, et très fier de l'être. Qui est le plus perdu, celui qui se permet de cracher, au nom d'un intellectualisme tendance, sur les pionniers d'un genre, ou celui qui les cites comme des références? Perdu pour perdu, je suis heureux de ne pas être aujourd'hui sur ton chemin. Lorsqu'on a vingt et que dans le non-respect le plus total on se permet de cracher au visage de ces ainés, c'est vraiment là qu'on est perdu.
Et je n'en démords pas, ce groupe c'est toujours de la merde. Il faut sans doute avoir de la merde dans la tête pour comprendre, d'où tes facilités.
Concernant mes capacités d'écriture, venant d'un types qui a été promu en léchant le cul de la patronne, et qui a seulement 4 textes aussi merdiques à son actif, je n'en prends pas ombrage, bien au contraire. Tes capacités limités à expliquer aux autres qu'ils ne savent pas écrire du haut de ton inexpérience et de ta profonde bêtise, sont très amusant, mais sur un vrai site, avec promotion aux mérite, tu n'aurais été rien d'autre qu'un frustré de plus par le refus de ces textes.
Je suis peut-être inculte, mais je ne demande qu'à apprendre et j'attends toujours tes liens concernant l'historique de "rock de stade". Au lieu de te branler sur des réponses toute faites, digne des préaux de maternelle d'où tu n'es pas encore sortis, quelques liens m'auraient sans doute convaincu. Si je suis un idiot, je n'ose imaginer ce que toi tu es...
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