Téléphone : Au Coeur de la Nuit

Les paroles



1. AU COEUR DE LA NUIT


J'avais un ami
Mais il est parti
Ce sens à ma vie
Il n'est plus en vie
Il m'a tout donné
Puis s'est effacé
Sans me déranger
Et je crois j'ai pleuré

Tout au fond
L'air d'un con
Envie de me casser
Voudrais bien essayer
Voudrais bien continuer, continuer
Un moment, un instant
J'ai cru oublier
En parlant, en marchant
A Paris, à minuit, dans ma ville

Quelques mots perdus
Dans la nuit
Quelques mots qui traînent
A minuit
Quelques mots qui cognent
Au cœur de la nuit
Mais la nuit ne peut pas entendre
Non la nuit ne peut pas comprendre
C'est à croire, que la nuit
N'a pas de cœur
J'avais une amie
Maintenant c'est fini
Un sens à ma vie
Mais je n'ai plus envie
Et j'ai tout donné
Pour elle
J'ai tout dépensé
Pour ce souvenir
Ce rêve éveillé, réveillé

Plus un rond
L'air d'un con
Envie de me cacher
Voudrais bien essayer
Voudrais bien continuer, continuer
Un moment, un instant
J'ai cru oublier
En parlant, en marchant
A Paris, à minuit, tout près d'ici

Quelques mots perdus
Dans la nuit
Quelques mots qui traînent
A minuit
Quelques mots qui cognent
Au cœur de la nuit
Mais la nuit ne peut pas entendre
Non la nuit ne peut pas comprendre
C'est à croire, que la nuit
N'a pas de cœur


2. PLOUM PLOUM


Ploum ploum, tu es président de la République,
Ploum ploum, et toi le chef d'un grand parti politique.
Amstram gram, pique et pique et colle au gramme,
Toi t'es trop défoncé, tu cours après ta came.
T'es en dehors du jeu, t'as plus besoin des femmes.
Mets-toi sur le côté, et regardes les jouer.
Ploum ploum,
Ploum ploum,
Ploum ploum, (tu es) patron d'une grande fabrique.
Ploum ploum, toi t'as pas d'bol, tu es l'prolo qui les fabrique.
Amstram gram, pique et pique et colle au gramme,
Toi ta sécurité, ton boulot, et ta femme,
Tu joues trop bien le jeu, le pouvoir c'est ta came,
Mets-toi sur le côté, et regardes-nous jouer, regarde, regarde.
Ploum ploum, que tu te pâmes où que tu te piques,
Ploum ploum, c'est toi qu'on matte et c'est toi qu'on nique.
Ploum ploum, et tout le tralala, hiérarchie vaincra.
Ploum ploum, et tout le tralala, hiérarchie vaincra.
Amstram gram, pique et pique et colle au gramme,
Toi t'es trop défoncé, tu cour après ta came,
Toi tu l'est pas assez, tu cour après ton âme,
Mets-toi sur le côté, et regardes-les jouer.
Ploum ploum, Président de la République.
Mets-toi sur le côté et regarde les jouer.
Ploum ploum, chef d'un grand parti politique.
Mets-toi sur le côté et regardes les jouer.
Ploum ploum,
Mets-toi sur le côté et regarde les jouer.
Ploum ploum,
Mets-toi sur le côté et regarde les jouer.
Ploum ploum.


3. POURQUOI N'ESSAIES- TU PAS


Une rue, un troittoir ou un mur te séparent
Des rêves que tu as vécus
Une fille et qui passe et qui passe et qui passe,
Qui passe inaperçue.
Pas besoin d'être fort, pour savoir qu'essayer, c'est déjà arriver.
Pas besoin d'être fort mais il faut se jeter.
Il faut pouvoir oser.
Mais qu'attends tu enfin ?
Qu'on te donne le sein ?
Qu'on te prenne par la main ?
Pourquoi n'essaie tu pas, pourquoi n'essaie tu pas ?
Si tu naissais encore une fois.
Pourquoi n'essaies tu pas, pourquoi n'essaies tu pas ?
Si tu naissais encore une fois.
N'essaies tu pas, n'essaies tu pas
N'être rien qu'une fois
N'essaies tu pas, n'essaie tu pas
De n'être rien qu'une fois, toi.
Une ville, un pays et toujours le même homme.
La même bête de somme.
Et toujours ce ciel gris qui fait rêver les mômes,
Qui tord le cou aux hommes.
Pas besoin d'être fort, mais il faut soulever,
Et il faut supporter.
Pas besoin d'être mort pour pouvoir essayer.
Et tu peux tout oser.
Attendre ne sert à rien.
Aujourd'hui fait demain.
Prends ce dont tu as besoin.
Pourquoi n'essaie tu pas, pourquoi n'essaie tu pas ?
Si tu naissais encore une fois.
Pourquoi n'essaies tu pas, pourquoi n'essaies tu pas ?
Si tu naissais encore une fois.
N'essaies tu pas, n'essaies tu pas
Naître rien qu'une fois.
N'essaies tu pas, n'essaies tu pas
De n'être rien qu'une fois, toi...
Lâche toi, lâche toi, allez
De n'être rien qu'une fois toi...


4. SEUL


Je me lève ce matin, et je bois mon café.
Je fume trois cigarettes sans l'avoir terminé.
Je cours me raser, me laver, m'habiller.
Je suis déjà en r'tard, j'dévale les escaliers.
Dehors rien n'a changé, oh ! j'aurai préféré.
J'rencontre mon pôte René, le fond de l'air est frais.
J'me rue dans le métro, j'suis pas seul, c'est complet.
Et serré contre tous, dans ce coït à deux cent,
J'oublie tout maintenant,
Je suis tout comme avant,
Seul, seul, seul.
Tout comme au début, tout nu.
Seul, seul, seul.
Journée bien entamée, j'ai pas le cœur à c'que j'fais.
Je parle pour ne rien dire.
J'dis rien pour pas parler.
J'dis rien pour pas gueuler.
Les yeux rivés sur l'heure qui refuse d'avancer,
Qui dès qu'j'aurais fini voudra plus s'arrêter.
Bon dieu que j'me fais chier, change-moi les idées.
Ma seule récréation, aller tout droit pisser.
Je suis seul un moment,
Enfermé là-dedans
Seul, seul, seul.
Tout comme au début, tout nu,
Seul, seul, seul, seul.
Parmi tout ces gens,
e m'allonge, et je croise les pieds,
J'ouvre le journal, c'est fou c'qui s'passe dans une de mes journée,
Mais chérie, chérie, combien de larmes faudra-t-il verser ?
Je suis seul en dedans.
Je suis tout comme avant, seul parmi tous ces gens,
Seul, seul, seul.
Tout comme au début, tout nu.
Seul, seul, seul ...
Seul, seul, en dedans, seul
Oh ça je connais ça, j'veux pas recommencer.
J'veux pas passer ma vie a rester enfermé.
Je veux parler à mille, veux parler à dix mille.
On m'a dit "signez-là, vous avez mis dans l'mille".
Vas-y que j'te chouchoute, que ju'te fais des courbettes,
Mais moi j'suis dans ma peau, personne peut y rentrer.
Je suis seul en dedans.
Marrant ou pas marrant.
Seul, seul, seul....



5. LAISSE TOMBER

Si tu crois que ça va craquer,
Si tu crois que tout va s'arrêter, là où tu l'as décidé.
Laisse aller, laisse aller, laisse aller.

Ca me crève le coeur que tu crèves d'envie de crever,
Dans ce jeu de cartes, cartes d'identités, garde ton identité.
Laisse-les, laisse aller, laisse aller.
Laisse tomber bébé, laisse tomber, laisse tomber.

Car l'amour aura raison de tout,
Et la mort aura raison de nous.
Laisse aller, laisse aller, laisse aller.

Humilier, hérinté, fatigue, pietiné
TU baisses la tête, tu veux leur faire un tête
Mais laisses les, laisses les, laisses les, laisses les
Humilier, Hérinté, fatiqué, pietiné, dépiter, humilier
tu souris tu t'entêtes, tu veux leur faire leur fête
Mais laisses les, laisses les tous des con de tout façon de tout façon
Laisses tomber, laisses tomber bébé, laisses tomber
Laisses aller, laisses aller, laisses aller

l'amour aura raison de tout,
Et la mort aura raison de nous.
Laisse aller, laisse aller, laisse aller.

Aller viens viens on s'en vas
Aller, aller, aller, aller, aller, aller, aller, aller, aller
Aller, aller, aller, aller
On va pas rester là
Aller, aller, aller, aller


6. UN HOMME + UN HOMME


Un homme plus un homme
Plus un homme plus un homme
Attendent

{Refrain:}
Quelque chose de nouveau
Quelque chose de beau
Quelque chose de nouveau
Quelque chose de beau
Un oiseau ? Un oiseau ?

Non, non, non

Un homme plus un homme
Plus un homme plus une femme
Plus un homme plus un môme plus un homme
qui marchent, qui tournent en rond
Qui regardent le sol, qui regardent leurs pieds
Qui attendent, qui attendent

{au Refrain}

Non

Quelque chose de gros
Une construction
Quelque chose de gros
Un autre train
Un autre train-train
Un autre train-train train

Un homme plus un homme
Plus une femme plus un môme
Plus un nain plus une main
Plus un géant plus un chien
Plus une mouche plus une puce
Plus un rat plus un homme
Plus une femme plus un môme
Attendent sur ce quai
Le train de 19 heures 47



7. LES ILS ET LES ONS


Tu dis,

Que tu n'admets pas.
Que tu ne tolères pas.
Et je me demande ce que tu vois.

Tu affirmes,

Qu'ils ne t'auront pas,
Qu'ils ne te changeront pas.

Garde ta révolte au fond de toi,
Garde ta révolte au fond de toi.
Car jeune con, ou vieux con,
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même.
Un pays loin d'ici ou tout près si tu veux,
Deux peuples en un et un peuple en deux.
A ma droite les ils, à ma gauche les ons et leur chef Léon.
Les ils si futiles sortent en ville paraît-il,
Entourés de presqu'ilset de ons serviles.
Les ons toujoursmarrons se croient sensés les cons.
Qu'ils traivaillent à la ville, qu'ils travaillent à la mine,
Qu'ils soient camés les ons sont tous pâlichons. Car les ilsdonnent aux ons l'air (R) qu'ils n'ont pasau fond.
Et le on rend desronds, rêve de révolutions ah ! ah !
Et chaque on a ses ils dessus.
Et chaque il a ses ons dessous.
Question: Qui est il et qui est on ? Est-on presqu'ilou est-on né on?

Tu affirmes,

Que c'est bien comme ça,
Que ça ne changera pas.
Et tant pis pour toi ça changera.
Et si naguère, c'était mieux naguère.
Moi je n'étais pas né, naguère
Attends-toi à de nouvelles manières,
Attends-toi à de nouvelles manières.
Car jeune con ou vieux con,
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même.
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même.
Toujours égal à toi même, égal à toi même.



8. ARGENT TROP CHER


Prenez un enfant
Et faites-en un roi
Couvrez-le d'or et de diamants
Cachez-vous en attendant
Vous n'attendrez pas longtemps
Les vautours tournent autour
De l'enfant

Le blé a les dents acérées
Et les hyènes vont le dévorer
Le môme deviendra banquier
Ou le môme sera lessivé, lessivé

Je dis, argent, trop cher
Trop grand
La vie n'a pas de prix

Prends ton meilleur ami
Fais-en un ennemi
Je t'achète et je te vends
Vautré dans le coma
Du commun des mortels
Mon pote, t'es comme un rat
T'es commun, c'est mortel
Les vautours tournent autour
Toujours

Criez "Non" à l'esclavage
Et payez-leur
De nouvelles cages
Faites installer des pièges
Là où commence la rage
La rage

Je dis argent, trop cher
Trop grand
La vie n'a pas de prix

Un compte bloqué
L'autre à découvert
Maintenant, banque !

Les vautours tournent autour
De nous maintenant

Tu en as, tu n'en as pas
Tu n'as pas vraiment le choix
Un mur de briques devant toi
Il est temps, dépense-toi
Dépense-toi

Je dis, argent, trop cher
Trop grand
La vie n'a pas de prix


9. ORDINAIRE


Avance, freine,
Ne te retourne pas, regarde devant toi,
Vire à gauche, et vire à droite,
Je veux filer dans la moite.
Appuie, bon dieu, appuie
Accélère, accélère.
Le vent me fait revivre,
et la nuit, j'ai des frères.
Cherche et trouve
Qu'à chacun de tes pas, une autre portes'ouvre.
Et toujours découvrir,
Même si le bout du fil est simplement mourir,
Fais chauffer les moteurs,
Je sais la route par coeur
Que me porte la machine,
Qui tête en ma poitrine.
Mais plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire.
Non, non, non.
New York, Rome,
La Réunion ou d'autres horizons.
Partir et puis revenir,
Agir, toujours agir si tu n'veux pas mourir.
Fais chauffer les moteurs,
Ta route va droit au coeur,
Et la machine ira loin,
Tant que tu tendras ton sein.
Mais plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie.
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire, faire,faire...
Plus d'envie, plus d'énergie, pour chaque jourde ma vie.
Avance, freine,
Ne te retourne pas, regarde devant toi,
Vire à gauche, et vire à droite,
Je veux filer dans la moite.
Appuie, bon dieu, appuie
Accélère, accélère.
Le vent me fait revivre,
et la nuit, j'ai des frères.
Cherche et trouve
Qu'à chacun de tes pas, une autre portes'ouvre.
Et toujours découvrir,
Même si le bout du fil est simplement mourir,
Fais chauffer les moteurs,
Je sais la route par coeur
Que me porte la machine,
Qui tête en ma poitrine.
Mais plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire.
Non, non, non.
New York, Rome,
La Réunion ou d'autres horizons.
Partir et puis revenir,
Agir, toujours agir si tu n'veux pas mourir.
Fais chauffer les moteurs,
Ta route va droit au coeur,
Et la machine ira loin,
Tant que tu tendras ton sein.
Mais plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie.
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire, faire,faire...
Plus d'envie, plus d'énergie, pour chaque jour de ma vie.


10. 2000 NUITS

Traîner toutes les nuits, les matins aussi
Pour une nouvelle nuit, une nouvelle amie
Un amour pour la vie et qui, le jour, s'enfuit
Deux mille nuits passées à t'imaginer
T'imaginer

J'ai déjà trop marché, je n' veux pas m'éveiller
Tous ces rêves mouillés, je voudrais m'y baigner
Une source de vie, qui, le jour, se tarit
Deux mille nuits passées à t'imaginer
T'imaginer

Maintenant, je suis là et je guette tes pas
Maintenant, je suis là mais tu n'existes pas
J'écoute le jour qui se lève et j'ai goûté à tes lèvres
Pendant toutes ces nuits, oh, tant et tant de nuits !
Deux mille nuits passées à t'imaginer

T'imaginer, te désirer
Te désirer, t'imaginer
T'imaginer


11. FLEUR DE MA VILLE


Elle vint chez moi en plein hiver.
Elle n'avait pas froid, n'en avait pas l'air.
Je l'accueillis à bras ouverts.
Je ne savais pas qu'elle entrait jusque-là.

Fleur de ma ville, du sang sur tes épines.
Tu prends ce que j'ai. Tu n'me dis pas ou je vais.
Fleur de ma ville, du sang sur tes épines.
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes.

Non, pas de veine pour celui qui l'aime,
Le dernier train, toujours le même,
Pour ce pays en noir et blanc
Où on n'se fait plus de mauvais sang.

Fleur de ma ville, du sang sur tes épines.
Tu prends ce que j'ai. Tu n'me dis pas ou je vais.
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes.
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes.


12. LA LAISSE



On entre dans ta cage pour t'empêcher de voler.
Tu entends ce tapage, tu sais qu'on vient te violer.

Mais tu veux tout tout entier, tout de la tête aux pieds.
Et tu l'as autour de toi mais tu le veux à tes pieds,

Comme un chien abandonné.
Tu suis ce quue tu es,

Comme un chien délaissé,
Tu es ce que tu hais.

La laisse, la laisse, la laisse, ouah ouah.

Tu te fais des amis et tu défais aussi,
Et tu détruis celui que tu n'as pas admis.

Tu a l'air d'avoir l'air mais tu n'peux pas respirer.
Tu vois que tu vois loin et tu te sens serré.

Comme un chien abandonné.
Tu suis ce quue tu es,

Comme un chien délaissé,
Tu es ce que tu hais.

La laisse, la laisse, la laisse,

Ne mords pas la laisse.
Laisse la, ta laisse.

Ne mords pas, ne mords pas, ne mords pas la laisse.
Laisse la, laisse la, la laisse...


13. LE SILENCE


Est-ce que ça t'ai déjà arrivé
De regarder comme ça la vie passer
Assis à la terrasse d'un café
Ou en marchant tout seul dans ton quartier

Le silence dans la tête et le bruit au dehors

Mes pieds comptent les pavés
Et mon cœur compte les nuits glacées
Je file tout au bord du trottoir
Je suis un funambule dans le noir

Le silence dans la tête et le bruit au dehors

Quand rien ne me fait rien
Je ne pense pas à demain
Dans mes poches je serre les poings
Je me sens bien au creux des mains

Le silence dans la tête et le bruit au dehors

Et même si j'ai froid dans ce putain d'hiver
Moi je m'en fous j'ai besoin d'air
D'un espace où tout reste à faire
C'est ça mon premier pas vers la liberté

Le silence dans la tête et le bruit au dehors


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