Les Wriggles sont actuellement en pleine et longue tournée. Comment tout cela se passe-t-il ?
Kristof : Ça se passe pas mal. On a commencé en janvier 2007, et nous sommes en octobre 2009. Ça se passe vraiment très bien, avec ce nouveau spectacle où nous ne tournons plus qu'à trois, puisque nous étions encore cinq jusqu'en 2006. Le public que l'on avait à cinq est toujours là, et on est bien contents. Le spectacle est bien reçu et c'est d'ailleurs pour ça qu'on sort ce DVD : on trouvait ça dommage de ne pas en garder un petit souvenir.
Justement, qu'est-ce que l'on pourra trouver sur ce DVD, intitulé 'En Tournez' ?
Fredo : Eh bien, on a le spectacle en entier, un CD audio en plus comportant des morceaux du spectacle qui ne sont pas sur l'album, pour ceux qui voudraient écouter sans l'image. Et puis, on s'est amusés avec le réalisateur du DVD à monter un petit clip sur 'Tant pis ! Tant mieux !', avec des images de tournée. On a aussi une vidéo de La Rochelle sur 'La petite Olive', qui est une chanson qui nous a un petit peu dépassé dans notre histoire des Wriggles, mais qui est attendue par notre public ; le clip n'est pas de nous, il a été pris par l'équipe de France 4 à La Rochelle. On a un fourretout ; un reportage déconne...
Kristof : Des conneries quoi... Et il y a aussi un reportage sur l'album, fait par David Vallet. Fait en...
Fredo : En 2007 ! Pendant les élections de... hum... pf.
Est-ce que cette sortie de DVD, précédée de peu par un album, peut être vue comme une affirmation des Wriggles à trois : une sorte de 'le groupe marche aussi, et vous pouvez le voir'.
Kristof : On n'avait pas tellement besoin de l'affirmer, puisque ça s'est confirmé assez vite. On a tourné dès début 2007 et on a vu que le spectacle était viable et que ça parlait à plein de gens. On a vu qu'on racontait des choses aux gens, qu'on pouvait les toucher, les émouvoir, et ça nous a permis de rebondir,
Kristof : Ça se passe pas mal. On a commencé en janvier 2007, et nous sommes en octobre 2009. Ça se passe vraiment très bien, avec ce nouveau spectacle où nous ne tournons plus qu'à trois, puisque nous étions encore cinq jusqu'en 2006. Le public que l'on avait à cinq est toujours là, et on est bien contents. Le spectacle est bien reçu et c'est d'ailleurs pour ça qu'on sort ce DVD : on trouvait ça dommage de ne pas en garder un petit souvenir.
Justement, qu'est-ce que l'on pourra trouver sur ce DVD, intitulé 'En Tournez' ?
Fredo : Eh bien, on a le spectacle en entier, un CD audio en plus comportant des morceaux du spectacle qui ne sont pas sur l'album, pour ceux qui voudraient écouter sans l'image. Et puis, on s'est amusés avec le réalisateur du DVD à monter un petit clip sur 'Tant pis ! Tant mieux !', avec des images de tournée. On a aussi une vidéo de La Rochelle sur 'La petite Olive', qui est une chanson qui nous a un petit peu dépassé dans notre histoire des Wriggles, mais qui est attendue par notre public ; le clip n'est pas de nous, il a été pris par l'équipe de France 4 à La Rochelle. On a un fourretout ; un reportage déconne...
Kristof : Des conneries quoi... Et il y a aussi un reportage sur l'album, fait par David Vallet. Fait en...
Fredo : En 2007 ! Pendant les élections de... hum... pf.
Est-ce que cette sortie de DVD, précédée de peu par un album, peut être vue comme une affirmation des Wriggles à trois : une sorte de 'le groupe marche aussi, et vous pouvez le voir'.
Kristof : On n'avait pas tellement besoin de l'affirmer, puisque ça s'est confirmé assez vite. On a tourné dès début 2007 et on a vu que le spectacle était viable et que ça parlait à plein de gens. On a vu qu'on racontait des choses aux gens, qu'on pouvait les toucher, les émouvoir, et ça nous a permis de rebondir,
de se triturer un peu la cervelle pour faire quelque chose de neuf. Donc non, pas tellement besoin de s'affirmer.
Fredo : Puis, c'est la suite logique ; on avait déjà sorti deux DVDs des derniers spectacles, et ça nous paraissait logique d'en sortir un pour ce nouveau spectacle. Ça reste même plus logique de sortir un DVD plutôt qu'un album, puisque l'on reste un groupe de scène et de mise en scène.
La formule des Wriggles reste la même, comme on le constate sur le DVD : chansons, humour, mise en scène, etc. Est-ce que le travail de répartition a cependant changé, depuis les mouvements de line-up ?
Fredo : Pas nécessairement, la méthode reste la même. Lorsque l'on sait qu'on va créer un spectacle, il nous faut des chansons : de ce fait, on a des périodes où l'on se réunit tous les trois et où l'on ne fait que ça. On n'est pas distraits par autre chose du quotidien : on ne fait que ça, ensemble. Pour la mise en scène, on a gardé la même équipe technique, avec Christian Lucas. De même pour Jean-Michel, notre manager, qui fait partie de ce même cercle d'amis qui sont les premiers à entendre nos chansons. Et euh...
Kristof : Mh, c'était quoi la question ?! Parce que là, tu nous emmènes loin ! J'aime bien quand ça développe, tu me diras. Mais, pour en revenir à la question, donc, on n'a pas tellement eu besoin de redéfinir les tâches de chacun ; ça s'est plutôt fait naturellement, en fait. Le travail n'a pas changé. Il reste collégial.
Avez-vous du supprimer des chansons de votre répertoire qui n'étaient plus jouables à trois ?
Kristof : On n'y a pas vraiment pensé, en fait. On avait tellement de chansons qu'on aurait même pu se passer des reprises que l'on a faites par le passé. Mais, on les a réadaptées car on savait que, dans le public, il y avait aussi une certaine attente de titres phares des Wriggles.
Fredo : L'idée ne serait pas impossible ; tout refaire pour un trio. Ç
Fredo : Puis, c'est la suite logique ; on avait déjà sorti deux DVDs des derniers spectacles, et ça nous paraissait logique d'en sortir un pour ce nouveau spectacle. Ça reste même plus logique de sortir un DVD plutôt qu'un album, puisque l'on reste un groupe de scène et de mise en scène.
La formule des Wriggles reste la même, comme on le constate sur le DVD : chansons, humour, mise en scène, etc. Est-ce que le travail de répartition a cependant changé, depuis les mouvements de line-up ?
Fredo : Pas nécessairement, la méthode reste la même. Lorsque l'on sait qu'on va créer un spectacle, il nous faut des chansons : de ce fait, on a des périodes où l'on se réunit tous les trois et où l'on ne fait que ça. On n'est pas distraits par autre chose du quotidien : on ne fait que ça, ensemble. Pour la mise en scène, on a gardé la même équipe technique, avec Christian Lucas. De même pour Jean-Michel, notre manager, qui fait partie de ce même cercle d'amis qui sont les premiers à entendre nos chansons. Et euh...
Kristof : Mh, c'était quoi la question ?! Parce que là, tu nous emmènes loin ! J'aime bien quand ça développe, tu me diras. Mais, pour en revenir à la question, donc, on n'a pas tellement eu besoin de redéfinir les tâches de chacun ; ça s'est plutôt fait naturellement, en fait. Le travail n'a pas changé. Il reste collégial.
Avez-vous du supprimer des chansons de votre répertoire qui n'étaient plus jouables à trois ?
Kristof : On n'y a pas vraiment pensé, en fait. On avait tellement de chansons qu'on aurait même pu se passer des reprises que l'on a faites par le passé. Mais, on les a réadaptées car on savait que, dans le public, il y avait aussi une certaine attente de titres phares des Wriggles.
Fredo : L'idée ne serait pas impossible ; tout refaire pour un trio. Ç
a aurait peut-être été moins bon, mais pas impossible. La vraie question, maintenant, est plutôt de trouver la place pour les anciennes chansons, pendant les lives. Mais, en même temps, si on ne les joue pas, au grand désespoir de certains, c'est aussi par lassitude ; elles ont été trop jouées à cinq, et l'on préfère faire autre chose à trois, dans ce spectacle.
Au terme de cette tournée, vous comptez retourner à vos projets personnels (en référence à la très belle et comique lettre de Didier Porte, trouvable sur le site officiel du groupe), ou enchaîner directement avec l'aventure Wriggles.
Fredo : Ce qu'on sait, nous, c'est qu'on ne s'est pas donné de date de retour pour les Wriggles. Comme ça, on peut respirer, se donner envie d'y retourner. A côté de ça, on est tous comédiens, musiciens, ou à faire des projets à droite, à gauche, c'est plus ou moins défini. C'est peut-être pas tout de suite pour les uns, plus tard pour les autres.
Kristof : On reste 'open'.
Justement, vos projets ?
Fredo : Concrètement, moi je fais de la chanson avec mon frère, un projet que l'on développe depuis plusieurs années sous le nom de Volo ; on doit tourner en 2010 pour défendre le dernier album sorti. Notre copain Steph va défendre plusieurs choses, notamment un album solo qui s'appelle 'Commerce Ecoutable' ; il fait aussi du théâtre, il adapte du Dostoïevski en ce moment.
Kristof : Et moi je fais de la mise en scène de groupes.
On vous retrouve donc à La Cigale. Trois fois ! Ça s'annonce bien ?!
Fredo : On va y aller tranquillement, hein !
Kristof : Puis La Cigale, c'est une bonne salle, intime... Ça va nous faire du bien d'y aller, d'abandonner les grandes salles !
Oui parce que les Zénith et les Bercy, ça va bien.
Kristof : Oui, on veut retrouver cette intimité du début (rires)
Au terme de cette tournée, vous comptez retourner à vos projets personnels (en référence à la très belle et comique lettre de Didier Porte, trouvable sur le site officiel du groupe), ou enchaîner directement avec l'aventure Wriggles.
Fredo : Ce qu'on sait, nous, c'est qu'on ne s'est pas donné de date de retour pour les Wriggles. Comme ça, on peut respirer, se donner envie d'y retourner. A côté de ça, on est tous comédiens, musiciens, ou à faire des projets à droite, à gauche, c'est plus ou moins défini. C'est peut-être pas tout de suite pour les uns, plus tard pour les autres.
Kristof : On reste 'open'.
Justement, vos projets ?
Fredo : Concrètement, moi je fais de la chanson avec mon frère, un projet que l'on développe depuis plusieurs années sous le nom de Volo ; on doit tourner en 2010 pour défendre le dernier album sorti. Notre copain Steph va défendre plusieurs choses, notamment un album solo qui s'appelle 'Commerce Ecoutable' ; il fait aussi du théâtre, il adapte du Dostoïevski en ce moment.
Kristof : Et moi je fais de la mise en scène de groupes.
On vous retrouve donc à La Cigale. Trois fois ! Ça s'annonce bien ?!
Fredo : On va y aller tranquillement, hein !
Kristof : Puis La Cigale, c'est une bonne salle, intime... Ça va nous faire du bien d'y aller, d'abandonner les grandes salles !
Oui parce que les Zénith et les Bercy, ça va bien.
Kristof : Oui, on veut retrouver cette intimité du début (rires)
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Interview done by Elisa
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