The 2nd Law

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14/20
Nom du groupe Muse
Nom de l'album The 2nd Law
Type Album
Date de parution 01 Octobre 2012
Labels Helium-3
Style MusicalRock indépendant
Membres possèdant cet album83

Tracklist

1.
 Supremacy
 04:55
2.
 Madness
 04:39
3.
 Panic Station
 03:04
4.
 Prelude
 00:57
5.
 Survival
 04:17
6.
 Follow Me
 03:50
7.
 Animals
 04:22
8.
 Explorers
 05:46
9.
 Big Freeze
 04:39
10.
 Save Me
 05:08
11.
 Liquid State
 03:02
12.
 The 2nd Law: Unsustainable
 03:48
13.
 The 2nd Law: Isolated System
 04:59

Durée totale : 53:26

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Muse


Chronique @ Mr4444

01 Octobre 2012

« The 2nd Law » n’est qu’une pierre de plus posée sur le chemin de l’auto-parodie

Muse est un groupe étonnant. Toujours à la recherche du grain qui pourra renouveler constamment leur musique. Le groupe en a parcouru du chemin depuis leur début prometteur avec « Showbiz » ou « Origin of Symmetry » jusqu'à la reconnaissance mondiale d' « Absolution ». Toutefois, « Absolution » n'a pas pu empêcher le groupe de glisser quelques passages pompeux aux milieux de compositions toujours aussi enlevées et prenantes. « Black Holes & Revelations » a laissé un arrière-goût amer. Beaucoup plus facile d'accès, beaucoup moins grandiloquent... « The Resistance » a continué de diviser les fans. Certes, l'apport d'une orchestration cette fois-ci plus organique et pure avait quelque chose de rafraîchissant, mais ça reste un album transitoire pour Muse, vers quelque chose de plus « vendeur »…

« The 2nd Law ». La seconde loi de la thermodynamique. Tout un programme. Déjà, il est question d'une pochette assez ... original. Human Connectome, un laboratoire d'imagerie cérébrale, en est « l'auteur ». Le site du laboratoire décrit l'image ainsi : "Architecture de la substance blanche du cerveau. Mesuré avec l'imagerie de diffusion spectrale (DSI). Le code couleur des fibres dépend de la direction. Rouge : gauche-droite. Vert : avant-arrière. Bleu : à travers le tronc cérébral."

Muse avait déclaré que cet album serait plus sobre, moins orchestré et plus terre-à-terre que les précédents, un album que Matthew Bellamy souhaite plus personnel et émotionnel. Un approfondissement du côté électronique est également de la partie (ceux qui ont regardé le teaser peuvent facilement le deviner). Tirer un trait sur la musique Musienne pour tenter autre chose, au final, une approche plus expérimentale, Dominic Howard déclarera d'ailleurs que cet album lui rappelle le chef-d’œuvre « Origin of Symmetry ».

Les critiques enthousiastes des proches du groupe sur ce nouvel album tombent l’une après l’autre, Muse voit même une de ses chansons devenir l’hymne officiel des Jeux Olympiques de Londres de cette année, un sacré coup de pub dont le groupe n’a peut-être pas franchement besoin. D’un point de vue totalement personnel, quand cet album tombe dans mes mains, en quelque sorte en avant-première, j’ai une petite appréhension… Ni la pochette, ni les quelques titres sortis en streaming depuis ne m’ont donné envie de me repencher sur ce groupe. Mais pourtant, je me jette quand même dessus, je dois savoir où le groupe en est, si le vent glaciale ressentis à l’écoute de « The Resistance » s’est réchauffé.

« The 2nd Law » est un disque déconcertant… Une sorte de crise d’épilepsie musicale, quelque chose dont on ne parvient à trouver le bon sens, parfois persuadé qu’on écoute ce disque à l’envers. On le tourne, on le retourne … Non, il n’est pas rayé pourtant. De toute évidence, ce disque pue l’in-originalité sous couverture d’une « originalité » soi-disant novatrice en ce qui concerne la musique du trio Anglais. Après, textuellement, le groupe écrit sur ce qu’il maîtrise le mieux : l’amour, la peine, la vie et surtout sur le monde qui nous entoure, sur sa corruption et ses blessures.

Maintenant, je m’explique sur la musique. Il n’y a aucun fil conducteur dans ce disque, toutes les chansons sont mises à la queue par simple tirage au sort et aucune ne se démarque comme étant du Muse. C’est simple, ce « riff » de basse qui introduit « Panic Station » semble tout droit sortis d’ « Another One Bites the Dust» de Queen. On sait que l’ancien groupe de Freddie Mercury est l’une des principales sources d’inspirations de Muse, mais là, ça fait un peu pompage en règle. Les envolées vocales et le refrain archi-pompeux perpétuent cette sensation de réchauffage musical en règle. Du côté du premier single, « Madness », on semble se rapprocher davantage d’une mauvaise copie de Prince. L’instrumentation plate et la voix de Matthew qui n’emmène guère plus loin qu’à la boulangerie d’à côté. Même le final grandiloquent ne parviens qu’à ennuyer davantage… « Big Freeze » la joue Rock 80’s à inspirations diverses, sauf ce qui peut être novateur. « Big Freeze » est du même acabit, avec un petit côté U2 sur la guitare.

Rassurez-vous, Muse ne fait pas que pomper les autres, en effet, le groupe aime se pomper lui-même. « Explorer » en est l’exemple-type. Un titre à la croisée d’ « Invincible » (Black Holes & Revelations). C’est très criant à partir de la moitié du titre, même tonalité de voix, même instrumentation. « Follow Me » ressemble un peu trop à « Take a Bow » pour être véritablement prenante. Avouons également que ça n’est pas l’électro façon « feuille qui sort en saccade de la photocopieuse du bureau » qui va sauver les meubles. « Survival » touche également le vieux Muse à un degré différent (ou peut-être même du Supertramp, si on creuse suffisamment), ce titre semble toucher un peu tous les albums dans un groove parfois semblable à « I Belong to You » et à quelque chose de bien trop grandiloquent pour être naturel.

Seul « Supremacy » sauve légèrement les meubles. Un (plus ou moins) véritable Rock-Symphonique où Matthew révèle qu’il a encore une voix prenante sur un titre frissonnant. Les riffs, sans être foncièrement fantastiques, sont suffisamment durs pour accrocher l’oreille, tout comme l’apport orchestral, dans le ton. Quant aux envolées vocales suraigües des pré-refrains… À la convenance de chacun. « Animals » a encore un peu de charme, même si les accords de guitare semblent encore une fois terriblement mal inspirés et trop ressemblant à … du Devin Towsend.

« Save Me » et « Liquid State » sont différentes. Le fait que ça soit Christopher Wolstenholme au chant y est pour quelques choses. Deux chansons profondément mélancoliques et relativement originales, pour le coup. Chris a une voix aérienne et planante, plaisante surtout. Si « Save Me » est étrangement calme, « Liquid State » accélère le tout sur des riffs un peu trop semblables à « Supremacy ». Assez efficace, toutefois.

Comme « The Resistance » et son « Exogenesis », « The 2nd Law » possède sa symphonie finale. Sur neuf minutes instrumentales, uniquement relayé par des chœurs et des samples vocaux, le groupe prouve qu’il est encore capable du meilleur. La symphonie est grandiose, prenante, rythmée, puissante, envoutante. Mais le groupe est aussi capable du plus … perturbant. En témoigne cette coupure Dubstep-Symphonique. Si l’idée en soi est plus ou moins originale (même si on se souvient du nombre de groupe de Rock-Metal tous genres confondus qui se sont cassés les dents à faire des mélanges de ce type), il n’en reste pas moins qu’on parle de Muse, là. L’expérimentation déborde et risque à tout moment de submerger le groupe avec une musique qui ne lui ressemble pas. À l’appréciation de chacun. « Isolated System » conclut l’album sur une note positive, ne se concentrant que sur la symphonie et laissant l’électronique quelque peu en arrière-plan.

Ceux qui ont découvert Muse à partir de « Black Holes & Revelations », ou bien ceux qui parviennent à faire abstraction du passé du groupe peuvent éventuellement aimer ce disque. « The 2nd Law » n’est qu’une pierre de plus posée sur le chemin de l’auto-parodie. Un disque infect, caricaturant Muse sur chacune de leurs tentatives. Tout est en surdose ici, Muse touche tout ce qui a fait le succès de la musique d’aujourd’hui en le transformant en une bouillie répugnante. C’est pompeux, c’est mal fait, c’est d’une facilité affolante, tout juste bon à exciter les jeunes fans en fleurs qui se jetteront sans vergogne sur ce disque pour le transformer malgré tout en un énorme succès.

Je retourne écouter « Origin of Symmetry ». Il y a dix ans, Muse tenait le futur du Rock Anglais. Aujourd’hui, le groupe n’est plus que l’ombre de lui-même.

Tristesse.

25 Commentaires

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TheLastWarrior34 - 25 Avril 2013: C'est quoi cette chronique là ??
Ca change des précédents je suis d'accord, mais il y a énormément de recherche et beaucoup d'inspiration. C'est un album que j'apprécie beaucoup, je le trouve magnifique.
Puis le groupe l'avait dit qu'il ferait un album différent et qu'ils iraient voir vers d'autres horizons
Mr4444 - 26 Avril 2013: Nous avons chacun nos avis, c'est tout. Si cet album t'a plu, c'est l'essentiel, moi, il m'a ennuyé du début à la fin, je n'ai pas trouvé les expérimentations intéressantes et j'ai hais les multiples pompages.

J'ai juste écris mon ressenti, pas fait un article de presse, hein :)
Brozzy21 - 16 Novembre 2014: Très bonne chronique ! Personnellement j'ai découvert Muse avec Black Holes and Revelations. Ensuite j'ai acheté Absolution et The Resistance que j'ai aimé tous les deux (même The Resistance, oui, je trouve qu'il y avait de bonnes choses dedans.) Par contre quand j'ai entendu les premeirs singles de The 2nd Law, je me suis dit que l'espoir était perdu, et malheureusement je crois que j'avais raison vu ta chro.
Comme quoi même les fans plus "récents" peuvent ne pas aimer l'album ^^
 
Samurai112 - 07 Juin 2015: C'est marrant cette impression qu'il y a la team "Première trilogie" (Showbiz/OOS/Absolution) et les "newbies" (BH&R/TR/T2L). J'ai fait partie de la première catégorie pendant longtemps, puis j'ai réécouté The 2nd Law il y a peu, et j'ai vraiment accroché, tout en ayant l'impression de mieux comprendre ce qu'essayait de faire le groupe. Aujourd'hui, j'arrive à apprécier le meilleur de chacun de leurs disques, et je pense que c'est comme ça qu'il faut écouter le groupe. Ne pas se dire "Muse c'est ce style précis et cet album n'y colle pas" mais plutôt "De quelle manière le "style Muse" va-t-il s'élargir cette fois". Enfin, je suis conscient que mon message aura peu de portée mais au moins j'aurai essayé :D
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Chronique @ hadsonners

21 Octobre 2012

Garder la tête haute et toujours proposer du neuf, en gardant l'inspiration !

Muse, sans aucun doute LE monument Rock des année 2000 ! Remarqué par la presse anglaise dès leur premier album Showbiz comme un groupe de Rock anglais des plus prometteur, ce sentiment se confirme avec Origin of Symmetry en 2001, L'Europe s'incline alors devant le talent de ce jeune trio et surtout de son leader et compositeur Matthew Bellamy. En 2003, Absolution, leur troisième album, ouvre au groupe les portes de l'internationale via les Etats Unis ! La reconnaissances est complète mais les critiques commencent également à pleuvoir... En 2006 sort Black Holes and Révélations, plus électro, plus grandiloquent, moins Rock. En 2009 vient The Résistance, grosse influence de Queen, beaucoup d'arrangements classiques et même une symphonie pour clôturer l'album. En 2012, voilà ce qu'est Muse, un groupe qui est autant adulé que décrié, qui compte des fans par millions mais qui a aussi de plus en plus de détracteurs. En 2012 c'est également la sortie de leur 6éme album : The 2nd Law.

Et maintenant, où en est-on ?

La première déclaration de Matthew Bellamy vis-à-vis de cet album était qu'il voulait retourner à quelque chose de plus intimiste, de plus sobre. Ne cherchez pas, ça n'est pas du tout le cas, bien au contraire Muse continue sur sa lancée Rock Alternatif Prog Classiquo Romantique et même pas mal électronique pour le coup !

Le tout premier titre donne d'ailleurs parfaitement le ton, "Supremacy" sorte de morceau très " James bondien " a le mérite de très bien lancer l'album, une guitare bien lourde contrebalancée par une basse en béton (Christohper Woltenholmes) et une batterie bien nerveuse, tout ça avec son accompagnement épique au violon. Sublime tout simplement, le titre alterne violence et douceur dans un équilibre parfait , qui plus est si la voix de Bellamy était parfois un peu fade sur The Résistance, dès ce premier morceau de The 2nd Law, Bellamy nous gratifie d'une très belle performance, incroyable de justesse et d’émotion, montant toujours plus haut dans les aigus, le chant est d'une maîtrise aussi totale qu'incroyable et il en sera de même tout au long de l'album. "Madness"... Ah un des tubes mis à dispo avant la sortie de l'album, est un des titres qui avait le plus dérouté... Sorte de balade R'n'B électro progressive, ce morceau est aussi une des réussites de l'album est il serait bien facile de cracher dessus sans prendre le temps de l'apprécier, car s’il n'y a pratiquement pas de guitare ni de batterie, ce titre est beaucoup plus travaillé qu'il n'y paraît. Partant sur un beat typique électro tout simple allié au kitara (nouvel instrument pour cet album) de Woltenholmes, la voix de Bellamy s'ajoute tout doucement au début et ne fait que monter avec l'instrumental pour une explosion finale des plus magistrale. "Panic Station" est, elle, la suite parfaite d'un "Supermassive Black Hole". Cathchy et groovy comme pas possible, portée par une ligne de basse tout simplement excellente, ce titre est également un tube parfait, donnant directement envie de danser sur son air disco funk, on se retrouve véritablement en plein revival année 80'.

L'entrée en matière est donc parfaite, cet enchaînement de "Supremacy" où on retrouve enfin les grosses guitares des débuts, avec son solo franchement pas mal ; une belle balade progressive (oui j'ose) avec "Madness" et un tube dansant et très groovy avec "Panic Station". Non, vraiment, cet album commence très bien.

Hélas tout a une fin, si "Survival" et son prélude sont vraiment très, voir trop " Queenesque " avec ses choeurs, l'arrivée de la guitare bien lourde à la fin fracasse assez pour en faire un bon morceau, malheureusement, après ça déboule un "Follow Me" pas vraiment top, électro facile avec une montée facile pour une conclusion hélas toujours facile. Au rang des déceptions on peut également compter "Animals" qui n'a rien d'accrocheur ni même de recherché, véritablement insipide ce titre fait plus office de bouche trou qu'autre choses... Enfin le raté de l'album, j'ai nommé "The 2nd Law : Unsustainable" qui commençait pourtant pas mal avec son violon encore une fois grandiloquent et épique mais carrément jouissif et là… l’arrivée du Dubstep... vous savez ce truc à la mode en ce moment sur lequel pas mal de groupes essayent de surfer et se ramassent misérablement (qui a dit Korn ?). Du gros dubstep qui tâche, bien gras, bien moche, bien Srillex quoi ! Et ça, de la part de Muse, c'est quand même vachement décevant... Et bien dommage car "Isolated System", la chanson qui suit et d'une rare intensité et conclut de fort belle manière l'album.

Mis à part ça, le bassiste Chris Woltensholme s'invite au chant sur deux chanson qu'il a d'ailleurs lui même composées et ma foi, c'est plutôt pas mal. Sa voix a un côté très planant et reposant sur la balade "Save Me" par exemple et beaucoup plus en colère et violent sur "Liquid State" (les deux titres parlant de ses problèmes d'alcool), morceau très rock avec une basse bien lourde et une guitare bien incisive, une belle réussite pour Chris donc !

Au rang des balades on peut également compter "Explorers" qui sans être géniale transporte assez bien... bien qu'un peu copiée sur "Invincible". "Big Freeze" que j'allais oublier est également très bonne, une petite perle groovy mais bien plus travaillée qu'un "Panic Station" avec un bon petit solo au milieu.

En conclusion donc que dire de cet album ? Qu'il trouvera beaucoup de détracteurs ça c'est certain, Trop grandiloquent, trop lyrique et trop romantique, pas assez Rock et trop électro, trop love et pas assez en colère (que voulez-vous, la bande a maintenant 35 ans en moyenne et on ne peut pas garder sa colère de jeunesse à jamais). Cet album se fera également défoncer car il est facile de le défoncer alors qu'il n'est pas si facile à appréhender, facile de lui reprocher son pompage sur divers groupes (Queen, Radiohead etc ), mais au delà de ça, Muse garde une identité, son identité, qui est celle d'aucun autre, une force de composition incroyable et une volonté de se renouveler à chaque album, quitte à se faire justement ou injustement défoncer, changer de cap, garder la tête haute et toujours proposer du neuf, en gardant l'inspiration, l'envie de créer... Et ça ça force le respect. Vous l'aurez compris pour moi cet album de Muse est indéniablement un bon album car plus inspiré, pas une tuerie à cause de deux morceaux bateaux et d'un gros raté (vous savez lequel), mais il reste, après la petite déception de The Résistance, une très très agréable surprise. Un album bourré d'émotion, de mélancolie, de tendresse, de folie douce, d'amour, de passion et de questionnement.
Merci Muse

Bonne écoute à toutes et à tous !

HAD

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lovemedo - 28 Avril 2013: Bah en fait le bilan est assez mitigé pour ce qui me concerne. Après moultes écoutes, je trouve cet album quand même assez moyen. Car il oscille entre de très bons morceaux -Supremacy / Madness / Liquid State et les 2 morceaux finaux dont le désormais fameux "unsustaibable" que je trouve excellent !!!
Et puis alternance avec des titres plus ordinaires pour un groupe comme Muse (Survival / Animals / Explorers / Big Freeze) et puis des ratés (pour mon goût)comme Panic Station / Follow me et l'heureusement très court "Prelude".
Bref, on est en droit d'attendre mieux de la part d'un tel groupe, mais ils ont mis la barre tellement haute qu'on peut leur pardonner.
Je me ferai une idée de cet album sur scène au SDF le 21 juin prochain. J'ai hâte !
hadsonners - 09 Mai 2013: Il reste un bon album pour moi, par contre pour "unsustainable" j'arrive vraiment pas, comment des musiciens et compositeurs de cette trempe, surtout le Bellamy peuvent tomber aussi bas en pompant sur le truc a la mode, la zic du moment, cet daube de dubstep...



Fin bref, maintenant j'aimerais tout de même qu'il reviennent a quelque choses de plus rock et un peu moins grandiloquent, plus terre a terre, ils sont aller très loin mais il est temps de revenir un peu au sources pour moi, avant de vraiment se perdre !
lovemedo - 14 Juillet 2013: Comme prévu, j'ai pris une tarte au SdF ! Ils sont vraiment ENORMES sur scène ! Grand moment avec ces super musiciens, tous les 3 avec un très bon niveau technique, et les morceaux de cet album passent très très bien...
hadsonners - 15 Juillet 2013: J'imagine bien, je l'ai ai jamais vu mais je veux bien te croire que ta pris une belle claque :)

Même l’immonde " Follow Me " doit bien passer avec son gros bit de techno !
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