Chris De Burgh
Nom
Chris De Burgh
Date de naissance
15 Octobre 1948
Pays
Irlande
Ville
Dublin
Né en Argentine à Venado Tuerto le 15 octobre 1948 sous le nom de Christopher de Burgos, d’un père diplomate, Charles Davison, et d’une mère secrétaire, Emily Maeve de Burgh, dont il prendra le nom de jeune fille comme pseudonyme, il grandit dans plusieurs pays dont le Nigéria. Alors que Chris de Burgh est âgé de douze ans, ses parents font l’acquisition d’un château du XIIe siècle en Irlande et le transforment en hôtel. Là, il peut apprendre la guitare et jouer ses premières compositions en public dès ses premières années d'université. Il donne des centaines de concerts auprès d'invités de l'hôtel et commence à envisager une carrière de musicien.
Dans un même temps il étudie au Trinity College Dublin et obtient une licence en français et en anglais. Progressivement il réalise qu'il lui faut trouver un travail et commence à chanter pour gagner sa vie. Ses toutes premières scènes incluent un fast-food et un salon de coiffure avant qu'il puisse chanter dans une petite salle avec un groupe. Poussé par les possibilités qui lui sont offertes, il se rend à Londres pour tenter de décrocher un contrat. Après deux années d'échecs, il signe son premier contrat avec la maison de disques A&M Records en 1974 et fait la première partie du groupe Supertramp lors de leur célèbre tournée Crime of the Century.
La route du succès est difficile durant les années 1970, mais à force de patience et d’endurance, il réussit à atteindre la notoriété que l’on connaît aujourd’hui.
La route du succès
Rares sont les artistes qui peuvent prétendre avoir connu le succès depuis le début. C'est ce que Chris de Burgh réussit à accomplir. Contrairement à d'autres artistes sa carrière ne connaît pas un énorme succès aux États-Unis et en Angleterre. Seuls les titres « Don’t Pay The Ferryman », « High on Emotion », « Lady In Red » et « Missing You » arrivent en bonne position dans les hit-parades.
La plupart de ses albums vont connaître un important succès en Europe, au Canada et en Amérique du Sud. Au Brésil le titre « Flying » reste en première position pendant dix-sept semaines. D'autres pays reconnaissent ses talents de raconteur d’histoires, c’est ainsi qu’il devient très populaire en Scandinavie et en Afrique du Sud.
Les années 1980 lui sont très favorables. « Eastern Wind » connaît un succès phénoménal en Norvège. En 1982, l'album « The Getaway », qui contient « Don’t Pay The Ferryman », se classe assez bien en Angleterre et aux États-Unis. En 1984, l'album « Man On The Line » figure dans le Top 30 en Angleterre, aux États-Unis et dans une vingtaine d’autres pays. Il contient un titre qui fera lui aussi le tour du monde : « High on Emotion ».
L’album « Into The Light » en 1986 lui permet d’atteindre la consécration en tant qu’artiste de renommée internationale. Une chanson de cet album, « The Lady In Red », devient un retentissant numéro un dans plus de vingt-cinq pays et numéro trois aux États-Unis. Jusqu’à ce jour, cette chanson demeure l’une des plus diffusées à travers le monde. Depuis lors, sa popularité ne cesse de grandir et ce, spécialement en Allemagne où il se produit très régulièrement.
Après l'album « Flying Colours » en 1988 qui aura moins d'impact aux États-Unis et en Angleterre, il va continuer à connaître un immense succès en Allemagne, en Europe et dans d'autres pays comme la Russie, l'Australie et le Japon.
En 1990, son succès en Allemagne est tel qu’il est invité par le chancelier à chanter au grand spectacle organisé pour la réunification des deux Allemagnes.
En 1995, sentant le moment venu de tenter une nouvelle expérience musicale, il décide d’enregistrer un album regroupant ses plus grands succès ainsi que des pièces d’autres artistes qu’il affectionne particulièrement, accompagné d’un orchestre symphonique. Il concrétise un de ses rêves en donnant des concerts accompagné d'un orchestre symphonique, ce qui est un défi compte tenu de l'ampleur des besoins logistiques que cela représente.
À la suite de l’enregistrement de « This Way Up » qui réunit les membres d’un « groupe » pour la première fois depuis 1994, une grande tournée s’ensuit et le solide alignement de musiciens qui l’entoure lui redonne une nouvelle énergie. Cela devient évident sur l’album « Quiet Revolution », lancé fin 1999, qui atteint immédiatement le top 10 en Europe avec les singles « When I Think of you » et « A Woman’s Heart ». Ces deux pièces sont également adaptées et chantées en français par Chris de Burgh pour l'album destiné au Canada.
En 2002, paraît « Timing is everything ». Cet album ne connaîtra pas de succès particulier et marque la fin de sa collaboration avec A&M Records.
Un nouveau départ
L'année 2004 voit le renouveau de Chris de Burgh, car il dirige désormais sa propre maison de disques sous le label « Ferryman Productions », ce qui lui permet d'être plus libre vis-à-vis de son travail. Et cela va se sentir. Au mois de mars sort « The road to freedom ». Le succès que remporte cet album est considérable, puisqu'il entame dans la foulée une longue tournée « Solo », piano et guitare, en complète harmonie avec son public. Il lui est toujours de plus en plus proche et n'hésite pas à descendre chanter dans les allées des salles de concert, avec sa guitare le temps d'une chanson.
L'année 2006 voit le retour de Chris avec un nouvel album, « The Storyman ». Un nouvel album aux couleurs du monde et des rythmes musicaux du monde. Un florilège de nouvelles histoires dont une trilogie comme il sait si bien les raconter et chanter. Chris de Burgh comme beaucoup de fans l'aiment[réf. nécessaire]. Une mini tournée européenne a suivi la sortie de l'album mais pour le moment Chris de Burgh reste assez discret en France. Il prévoit un retour en Grande-Bretagne fin 2007.
En décembre 2006, Chris de Burgh est nommé ambassadeur des Nations unies au sein de l'IINSAM, une institution intergouvernementale d'aide auprès des personnes sous-alimentées.
Après 16 albums en studio, plusieurs « live », plus de 2 500 concerts à travers le monde et plus de 40 millions d’albums vendus, on peut certainement dire qu’il a acquis une carrière internationale et ce, même s'il demeure méconnu aux États-Unis.
Son dernier album studio, paru en fin d'année 2008, s'intitule Footsteps et est composé de reprises qu'il a enregistré en début d'année. Des titres des Beatles sont présents mais aussi des classiques comme Without You. Seule une chanson est inédite et porte le même nom que l'album.
Il a également chanté avec le très populaire groupe iranien Arian Band ; une vidéo est disponible sur Youtube.
Dans un même temps il étudie au Trinity College Dublin et obtient une licence en français et en anglais. Progressivement il réalise qu'il lui faut trouver un travail et commence à chanter pour gagner sa vie. Ses toutes premières scènes incluent un fast-food et un salon de coiffure avant qu'il puisse chanter dans une petite salle avec un groupe. Poussé par les possibilités qui lui sont offertes, il se rend à Londres pour tenter de décrocher un contrat. Après deux années d'échecs, il signe son premier contrat avec la maison de disques A&M Records en 1974 et fait la première partie du groupe Supertramp lors de leur célèbre tournée Crime of the Century.
La route du succès est difficile durant les années 1970, mais à force de patience et d’endurance, il réussit à atteindre la notoriété que l’on connaît aujourd’hui.
La route du succès
Rares sont les artistes qui peuvent prétendre avoir connu le succès depuis le début. C'est ce que Chris de Burgh réussit à accomplir. Contrairement à d'autres artistes sa carrière ne connaît pas un énorme succès aux États-Unis et en Angleterre. Seuls les titres « Don’t Pay The Ferryman », « High on Emotion », « Lady In Red » et « Missing You » arrivent en bonne position dans les hit-parades.
La plupart de ses albums vont connaître un important succès en Europe, au Canada et en Amérique du Sud. Au Brésil le titre « Flying » reste en première position pendant dix-sept semaines. D'autres pays reconnaissent ses talents de raconteur d’histoires, c’est ainsi qu’il devient très populaire en Scandinavie et en Afrique du Sud.
Les années 1980 lui sont très favorables. « Eastern Wind » connaît un succès phénoménal en Norvège. En 1982, l'album « The Getaway », qui contient « Don’t Pay The Ferryman », se classe assez bien en Angleterre et aux États-Unis. En 1984, l'album « Man On The Line » figure dans le Top 30 en Angleterre, aux États-Unis et dans une vingtaine d’autres pays. Il contient un titre qui fera lui aussi le tour du monde : « High on Emotion ».
L’album « Into The Light » en 1986 lui permet d’atteindre la consécration en tant qu’artiste de renommée internationale. Une chanson de cet album, « The Lady In Red », devient un retentissant numéro un dans plus de vingt-cinq pays et numéro trois aux États-Unis. Jusqu’à ce jour, cette chanson demeure l’une des plus diffusées à travers le monde. Depuis lors, sa popularité ne cesse de grandir et ce, spécialement en Allemagne où il se produit très régulièrement.
Après l'album « Flying Colours » en 1988 qui aura moins d'impact aux États-Unis et en Angleterre, il va continuer à connaître un immense succès en Allemagne, en Europe et dans d'autres pays comme la Russie, l'Australie et le Japon.
En 1990, son succès en Allemagne est tel qu’il est invité par le chancelier à chanter au grand spectacle organisé pour la réunification des deux Allemagnes.
En 1995, sentant le moment venu de tenter une nouvelle expérience musicale, il décide d’enregistrer un album regroupant ses plus grands succès ainsi que des pièces d’autres artistes qu’il affectionne particulièrement, accompagné d’un orchestre symphonique. Il concrétise un de ses rêves en donnant des concerts accompagné d'un orchestre symphonique, ce qui est un défi compte tenu de l'ampleur des besoins logistiques que cela représente.
À la suite de l’enregistrement de « This Way Up » qui réunit les membres d’un « groupe » pour la première fois depuis 1994, une grande tournée s’ensuit et le solide alignement de musiciens qui l’entoure lui redonne une nouvelle énergie. Cela devient évident sur l’album « Quiet Revolution », lancé fin 1999, qui atteint immédiatement le top 10 en Europe avec les singles « When I Think of you » et « A Woman’s Heart ». Ces deux pièces sont également adaptées et chantées en français par Chris de Burgh pour l'album destiné au Canada.
En 2002, paraît « Timing is everything ». Cet album ne connaîtra pas de succès particulier et marque la fin de sa collaboration avec A&M Records.
Un nouveau départ
L'année 2004 voit le renouveau de Chris de Burgh, car il dirige désormais sa propre maison de disques sous le label « Ferryman Productions », ce qui lui permet d'être plus libre vis-à-vis de son travail. Et cela va se sentir. Au mois de mars sort « The road to freedom ». Le succès que remporte cet album est considérable, puisqu'il entame dans la foulée une longue tournée « Solo », piano et guitare, en complète harmonie avec son public. Il lui est toujours de plus en plus proche et n'hésite pas à descendre chanter dans les allées des salles de concert, avec sa guitare le temps d'une chanson.
L'année 2006 voit le retour de Chris avec un nouvel album, « The Storyman ». Un nouvel album aux couleurs du monde et des rythmes musicaux du monde. Un florilège de nouvelles histoires dont une trilogie comme il sait si bien les raconter et chanter. Chris de Burgh comme beaucoup de fans l'aiment[réf. nécessaire]. Une mini tournée européenne a suivi la sortie de l'album mais pour le moment Chris de Burgh reste assez discret en France. Il prévoit un retour en Grande-Bretagne fin 2007.
En décembre 2006, Chris de Burgh est nommé ambassadeur des Nations unies au sein de l'IINSAM, une institution intergouvernementale d'aide auprès des personnes sous-alimentées.
Après 16 albums en studio, plusieurs « live », plus de 2 500 concerts à travers le monde et plus de 40 millions d’albums vendus, on peut certainement dire qu’il a acquis une carrière internationale et ce, même s'il demeure méconnu aux États-Unis.
Son dernier album studio, paru en fin d'année 2008, s'intitule Footsteps et est composé de reprises qu'il a enregistré en début d'année. Des titres des Beatles sont présents mais aussi des classiques comme Without You. Seule une chanson est inédite et porte le même nom que l'album.
Il a également chanté avec le très populaire groupe iranien Arian Band ; une vidéo est disponible sur Youtube.