Votre premier album, Loco Con da French Talking a été créé avec les moyens du bord ; depuis, vous semblez plus expérimentés sur le deuxième. Une chanson inédite « Stop the bot » a été publiée sur votre Web TV. Est-il question dun prochain album ?
En effet, on a déjà des pistes quon commence à enregistrer. Mais pour linstant rien de concret. On le réenregistrera peut-être ailleurs quà Paris car on aime bien ce concept : un album par ville. On avait pensé à Barcelone, mais avec les planifications de maisons de disque, on ne peut pas se permettre de bouger comme on veut. Sur Bad Porn Movie Trax, on trouve des morceaux de 2006, quon navait pas pu mettre sur Loco Con Da French Talking. Le troisième, on pourrait déjà le sortir parce quon a assez de morceaux. Si on nétait pas freinés par les partenaires de communication, on pourrait déjà avoir sorti 4 ou 5 albums !
Vous avez beaucoup dimagination, alors !
Pas forcément ; en fait, on ne se prive pas. Dès que les idées viennent, en images ou en sons, on produit tout ; puis après, dans le lot, certaines choses nous plaisent plus que dautres.
Deux extraits apparaissent sur votre player LA PLAYA et qui ne font partie daucun album : « Ring, ring, ring » (Reprise de De La Soul), et « Split da family ». Ce sont des titres qui apparaitront sur le troisième opus ? Ou des titres initialement prévus pour Bad Porn Movie Trax ?
Ça fait partie de ces morceaux qui sont en attente, yen a dautres (« Reset after all »). On a tendance à rendre toutes nos productions accessibles. Dailleurs, internet est une mine dor pour les artistes. Mais il faut faire attention, car si on sort lalbum quelques mois plus tard, il perdra de sa valeur commerciale. Du coup, on coupe la poire en deux, on essaie de satisfaire les auditeurs tout en leur faisant uniquement part de certains extraits.
Les genres musicaux sur Loco Con da French Talking étaient très variés, et sur le second, vous vous êtes plus recentrés sur le rock et lélectro.
En fait, cest plutôt le traitement du son. C'est-à-dire que nous, on aurait tendance à faire toujours le même genre de musique, mais en ayant un matériel de production plus costaud, ça a commencé à rendre le son plus homogène. A lépoque du premier, cétait des maquettes, cétait vraiment sans prétention. Dailleurs, on la récemment remasterisé.
Du coup, avez-vous une idée du genre musical du troisième? Avez-vous envie de continuer sur cette lignée, ou pensez-vous changer encore de genre? Histoire que votre nom soit passé par tous les bacs...
Ils vont certainement plus ou moins évoluer. On sétait dit quon ferait trois albums, avec ce singe en pochette, et ce genre de rock électro, et pour le quatrième, on ferait un truc qui na rien à voir. Ça pourrait être un style complètement différent. A suivre
C'est vrai qu'en vous écoutant, c'est difficile de vous cataloguer sur un style précis. Par quels groupes pourriez-vous dire que vous avez été influencés?
Oula ! Yen a des tonnes, et puis ce ne sont pas forcément des groupes qui nous ont inspirés, cest surtout des situations, des vidéos Ça va des Beatles au Wu-Tang Klan, en passant par De la Soul, Noir Désir, les Red Hot Même de la musique classique, de la salsa On écoute vraiment beaucoup de choses ! On a été catalogués comme étant un groupe de fusion, métal, mais nous, on na pas cette impression-là. On écoute beaucoup les Arctic Monkeys, même si ça ne se ressent pas tr
En effet, on a déjà des pistes quon commence à enregistrer. Mais pour linstant rien de concret. On le réenregistrera peut-être ailleurs quà Paris car on aime bien ce concept : un album par ville. On avait pensé à Barcelone, mais avec les planifications de maisons de disque, on ne peut pas se permettre de bouger comme on veut. Sur Bad Porn Movie Trax, on trouve des morceaux de 2006, quon navait pas pu mettre sur Loco Con Da French Talking. Le troisième, on pourrait déjà le sortir parce quon a assez de morceaux. Si on nétait pas freinés par les partenaires de communication, on pourrait déjà avoir sorti 4 ou 5 albums !
Vous avez beaucoup dimagination, alors !
Pas forcément ; en fait, on ne se prive pas. Dès que les idées viennent, en images ou en sons, on produit tout ; puis après, dans le lot, certaines choses nous plaisent plus que dautres.
Deux extraits apparaissent sur votre player LA PLAYA et qui ne font partie daucun album : « Ring, ring, ring » (Reprise de De La Soul), et « Split da family ». Ce sont des titres qui apparaitront sur le troisième opus ? Ou des titres initialement prévus pour Bad Porn Movie Trax ?
Ça fait partie de ces morceaux qui sont en attente, yen a dautres (« Reset after all »). On a tendance à rendre toutes nos productions accessibles. Dailleurs, internet est une mine dor pour les artistes. Mais il faut faire attention, car si on sort lalbum quelques mois plus tard, il perdra de sa valeur commerciale. Du coup, on coupe la poire en deux, on essaie de satisfaire les auditeurs tout en leur faisant uniquement part de certains extraits.
Les genres musicaux sur Loco Con da French Talking étaient très variés, et sur le second, vous vous êtes plus recentrés sur le rock et lélectro.
En fait, cest plutôt le traitement du son. C'est-à-dire que nous, on aurait tendance à faire toujours le même genre de musique, mais en ayant un matériel de production plus costaud, ça a commencé à rendre le son plus homogène. A lépoque du premier, cétait des maquettes, cétait vraiment sans prétention. Dailleurs, on la récemment remasterisé.
Du coup, avez-vous une idée du genre musical du troisième? Avez-vous envie de continuer sur cette lignée, ou pensez-vous changer encore de genre? Histoire que votre nom soit passé par tous les bacs...
Ils vont certainement plus ou moins évoluer. On sétait dit quon ferait trois albums, avec ce singe en pochette, et ce genre de rock électro, et pour le quatrième, on ferait un truc qui na rien à voir. Ça pourrait être un style complètement différent. A suivre
C'est vrai qu'en vous écoutant, c'est difficile de vous cataloguer sur un style précis. Par quels groupes pourriez-vous dire que vous avez été influencés?
Oula ! Yen a des tonnes, et puis ce ne sont pas forcément des groupes qui nous ont inspirés, cest surtout des situations, des vidéos Ça va des Beatles au Wu-Tang Klan, en passant par De la Soul, Noir Désir, les Red Hot Même de la musique classique, de la salsa On écoute vraiment beaucoup de choses ! On a été catalogués comme étant un groupe de fusion, métal, mais nous, on na pas cette impression-là. On écoute beaucoup les Arctic Monkeys, même si ça ne se ressent pas tr
op !
Le seul moyen à Berlin de sen sortir, cétait dêtre productif, et donc a plutôt été inspirés par des ambiances
Dailleurs, beaucoup de gens nous prennent pour des Allemands depuis !
Goz n'a-t-il pas le mal du pays, avec tous ces voyages, peu habituels pour un singe ?
Cest lui qui nous traine, cest un baroudeur ! Il nous amène à droite à gauche, il na pas de nationalité.
Dailleurs, en parlant de Goz, ne prend-il pas la grosse tête en tant que sixième membre?
En tous cas, tout le monde veut le voir. Dailleurs, cest fou dentendre le public crier le nom dun membre qui nexiste pas ! Par contre, quand Ion fait la battle avec Goz, tout le monde le siffle. Quand on était à Berlin, on placardait beaucoup daffiches avec Goz dessus, même lorsquon nétait pas encore connus, et les gens ont imprimé le visuel du singe, avant même de savoir quil y avait un groupe derrière tout ça. Certains même sattendaient à voir un cirque.
Vous comptez créer une peluche Goz ?
Ça serait génial oui, on y a pensé, mais cest un truc quon ne peut pas faire car ça coûte trop dargent.
Quel est le rôle de GOZ au sein de SHAKA PONK ? Avez-vous lintention de lui donner un rôle plus important à lavenir ?
Il est déjà bien présent ! Pour linstant, on essaie de se limiter au visuel, avec ce peu dinteractivité ; on voudrait faire plus, mais on veut surtout montrer au public que cest nous qui faisons tout nous-mêmes. Donc on est un peu limité. On a même des enfants qui viennent nous voir, et ils sont hypnotisés par ce singe ! (heureusement quils ne regardent pas tous les clips !)
Vous avez précédemment fait des premières parties de concert, comme notamment pour Mudvayne, No one is innocent, Skin (de Skunk Anansie), Motorhead; maintenant que vous êtes vous-mêmes têtes d'affiche, ce changement, vous le ressentez comment?
Cest très différent, ya une grande excitation : les salles sont pleines puisquon vient faire la première partie dartistes confirmés, et les gens souhaitent nous voir partir rapidement pour faire place à la tête daffiche, donc il faut faire nos preuves. Cest un challenge super excitant. En plus, généralement les premières parties sont plutôt mal servies, moins bon son etc.., du coup, on a pas mal la pression, mais quand on voit le public réagir, cest vraiment satisfaisant. Lorsque les gens viennent nous voir à nous, cest pas la même chose, cest un autre plaisir, cest moins stressant ! De peur de se recevoir des canettes dans la figure, il faut chercher linteraction dans la salle, essayer de trouver ceux qui sont intéressés, se surpasser en créant des mouvements de foules ; cest comme un défi. Pourquoi pas un Wembley bientôt ?!
Dailleurs, en fin de concert, nest-ce pas dur à gérer lorsque vous vous faites attaquer par des hordes de fans en furie ?
Ah ah ! En fait, les concerts, cest pour nous des vacances ; on passe beaucoup de temps à travailler sur les démos ; et quand on part en concert, cest souvent le sud, le soleil, le week-end. Cest vrai quon est content quand on va discuter avec des fans à la fin des concerts. Ya des gens qui nous font comprendre quon a réussi à les sortir dune mauvaise passe, ou alors quon les a aidés à se sentir mieux, etc et ça cest très appréciable. On a encore une notoriété assez petite pour pouvoir rencontrer une vingtaine de personnes à la fin de chaque concert. Quand on fera Wembley, ça ne sera plus
Goz n'a-t-il pas le mal du pays, avec tous ces voyages, peu habituels pour un singe ?
Cest lui qui nous traine, cest un baroudeur ! Il nous amène à droite à gauche, il na pas de nationalité.
Dailleurs, en parlant de Goz, ne prend-il pas la grosse tête en tant que sixième membre?
En tous cas, tout le monde veut le voir. Dailleurs, cest fou dentendre le public crier le nom dun membre qui nexiste pas ! Par contre, quand Ion fait la battle avec Goz, tout le monde le siffle. Quand on était à Berlin, on placardait beaucoup daffiches avec Goz dessus, même lorsquon nétait pas encore connus, et les gens ont imprimé le visuel du singe, avant même de savoir quil y avait un groupe derrière tout ça. Certains même sattendaient à voir un cirque.
Vous comptez créer une peluche Goz ?
Ça serait génial oui, on y a pensé, mais cest un truc quon ne peut pas faire car ça coûte trop dargent.
Quel est le rôle de GOZ au sein de SHAKA PONK ? Avez-vous lintention de lui donner un rôle plus important à lavenir ?
Il est déjà bien présent ! Pour linstant, on essaie de se limiter au visuel, avec ce peu dinteractivité ; on voudrait faire plus, mais on veut surtout montrer au public que cest nous qui faisons tout nous-mêmes. Donc on est un peu limité. On a même des enfants qui viennent nous voir, et ils sont hypnotisés par ce singe ! (heureusement quils ne regardent pas tous les clips !)
Vous avez précédemment fait des premières parties de concert, comme notamment pour Mudvayne, No one is innocent, Skin (de Skunk Anansie), Motorhead; maintenant que vous êtes vous-mêmes têtes d'affiche, ce changement, vous le ressentez comment?
Cest très différent, ya une grande excitation : les salles sont pleines puisquon vient faire la première partie dartistes confirmés, et les gens souhaitent nous voir partir rapidement pour faire place à la tête daffiche, donc il faut faire nos preuves. Cest un challenge super excitant. En plus, généralement les premières parties sont plutôt mal servies, moins bon son etc.., du coup, on a pas mal la pression, mais quand on voit le public réagir, cest vraiment satisfaisant. Lorsque les gens viennent nous voir à nous, cest pas la même chose, cest un autre plaisir, cest moins stressant ! De peur de se recevoir des canettes dans la figure, il faut chercher linteraction dans la salle, essayer de trouver ceux qui sont intéressés, se surpasser en créant des mouvements de foules ; cest comme un défi. Pourquoi pas un Wembley bientôt ?!
Dailleurs, en fin de concert, nest-ce pas dur à gérer lorsque vous vous faites attaquer par des hordes de fans en furie ?
Ah ah ! En fait, les concerts, cest pour nous des vacances ; on passe beaucoup de temps à travailler sur les démos ; et quand on part en concert, cest souvent le sud, le soleil, le week-end. Cest vrai quon est content quand on va discuter avec des fans à la fin des concerts. Ya des gens qui nous font comprendre quon a réussi à les sortir dune mauvaise passe, ou alors quon les a aidés à se sentir mieux, etc et ça cest très appréciable. On a encore une notoriété assez petite pour pouvoir rencontrer une vingtaine de personnes à la fin de chaque concert. Quand on fera Wembley, ça ne sera plus
possible !
Vous revenez tout juste des States. Comment s'est passé ce séjour ? Quel a été l'accueil des Américains envers SHAKA PONK ?
Très bon accueil, ambiance professionnelle. On a passé la semaine à aller voir quelques concerts, et quelques groupes sont venus nous voir à nous. Notre musique a été très bien reçue. On a eu une semaine très remplie. Du coup, ça été un peu dur de rentrer.
Avez-vous des anecdotes à raconter?
Yaurait des trucs à raconter, genre du matériel qui ne marchait pas en direct. Lenregistrement et lembarquement à Roissy à laller, cétait assez drôle parce quon commence à avoir pas mal de matériel. Ya des vidéos quon est en train de mettre en ligne sur MONKEY TV. On sest beaucoup servis de note caméra, on filmait tout, comme des japonais. Toutes les mentalités artistiques sont très différentes dun pays à lautre. On a trouvé ça complètement dépaysant. On appréhendait de savoir comment notre musique allait être perçue, mais ça sest bien passé. Parmi tous les concerts quon a vus, la plupart sont très rock classiques, contrairement à ce quon peut penser. Et du coup, de nous voir à nous, ils étaient surpris. On compte y retourner, y a une tournée qui se met en place là-bas, lalbum va sortir ; cest le show case qui nous a ouvert les portes. Donc on est content !
Après deux dates sold out à Paris, (le Casino et lElysée Montmartre) vous vous apprêtez à revenir au Bataclan, en décembre. Comptez-vous y donner un concert à l'identique ou peut-être incorporer de nouveaux effets pour ne pas « lasser » le public ?
Depuis, on a pas mal joué cet été, et on a trouvé de nouveaux arrangements, de nouveaux effets de lumière... Donc au Bataclan, on va faire mal pas dessais. On va tenter de mettre en place un nouveau show. On essaie de garder les trucs les plus interactifs et réjouissants, et puis amener des nouveautés. Ça devrait être mieux que lElysée, vu quon a un peu galéré, la clim est tombée en panne, du coup on na pas pu faire tout ce quon avait prévu parce que tout le monde mourrait de chaud, et on a été un peu frustrés.
Vous avez dit lors dune interview quon vous colle souvent des premières parties métal, cest encore le cas ce soir, avec un groupe local, CIVIL WAR. Vous le sentez comment ce soir ?
Disons, que quand on vient dans des coins comme Perpignan, où on nest encore jamais venus, cest plutôt « merci de nous accueillir chez vous! ». On sattend à ce que la salle soit très peu remplie, puisquon ne nous connaît pas bien. Donc, On va essayer de marquer les esprits pour que la prochaine fois quon passe, il y ait plus de monde. On ny va pas du tout en tant que tête daffiche. De toute façon, il peut y avoir peu de monde, et on peut séclater aussi, ça peut être rigolo. Si y a pas trop de monde, on les fait tous monter sur scène. Ici, cest lune des dates où il y a le moins de monde, avec Bordeaux, parce quon na jamais tourné là-bas non plus.
Question pour changer : Quel est le dernier concert auquel vous ayez assisté ?
Cétait à New York. Une belle salle, le Blender, qui reçoit un peu comme lElysée Montmartre. Cétait des blacks qui faisaient du métal, des afros-punk. Plutôt surprenant mais très bon concert.
Vous voulez ajouter quelque chose avant de conclure ?
On espère quon va bien samuser dans cette petite salle. Ce soir, on va poser un jalon, pour revenir avec un public plus nombreux plus tard...
Vous revenez tout juste des States. Comment s'est passé ce séjour ? Quel a été l'accueil des Américains envers SHAKA PONK ?
Très bon accueil, ambiance professionnelle. On a passé la semaine à aller voir quelques concerts, et quelques groupes sont venus nous voir à nous. Notre musique a été très bien reçue. On a eu une semaine très remplie. Du coup, ça été un peu dur de rentrer.
Avez-vous des anecdotes à raconter?
Yaurait des trucs à raconter, genre du matériel qui ne marchait pas en direct. Lenregistrement et lembarquement à Roissy à laller, cétait assez drôle parce quon commence à avoir pas mal de matériel. Ya des vidéos quon est en train de mettre en ligne sur MONKEY TV. On sest beaucoup servis de note caméra, on filmait tout, comme des japonais. Toutes les mentalités artistiques sont très différentes dun pays à lautre. On a trouvé ça complètement dépaysant. On appréhendait de savoir comment notre musique allait être perçue, mais ça sest bien passé. Parmi tous les concerts quon a vus, la plupart sont très rock classiques, contrairement à ce quon peut penser. Et du coup, de nous voir à nous, ils étaient surpris. On compte y retourner, y a une tournée qui se met en place là-bas, lalbum va sortir ; cest le show case qui nous a ouvert les portes. Donc on est content !
Après deux dates sold out à Paris, (le Casino et lElysée Montmartre) vous vous apprêtez à revenir au Bataclan, en décembre. Comptez-vous y donner un concert à l'identique ou peut-être incorporer de nouveaux effets pour ne pas « lasser » le public ?
Depuis, on a pas mal joué cet été, et on a trouvé de nouveaux arrangements, de nouveaux effets de lumière... Donc au Bataclan, on va faire mal pas dessais. On va tenter de mettre en place un nouveau show. On essaie de garder les trucs les plus interactifs et réjouissants, et puis amener des nouveautés. Ça devrait être mieux que lElysée, vu quon a un peu galéré, la clim est tombée en panne, du coup on na pas pu faire tout ce quon avait prévu parce que tout le monde mourrait de chaud, et on a été un peu frustrés.
Vous avez dit lors dune interview quon vous colle souvent des premières parties métal, cest encore le cas ce soir, avec un groupe local, CIVIL WAR. Vous le sentez comment ce soir ?
Disons, que quand on vient dans des coins comme Perpignan, où on nest encore jamais venus, cest plutôt « merci de nous accueillir chez vous! ». On sattend à ce que la salle soit très peu remplie, puisquon ne nous connaît pas bien. Donc, On va essayer de marquer les esprits pour que la prochaine fois quon passe, il y ait plus de monde. On ny va pas du tout en tant que tête daffiche. De toute façon, il peut y avoir peu de monde, et on peut séclater aussi, ça peut être rigolo. Si y a pas trop de monde, on les fait tous monter sur scène. Ici, cest lune des dates où il y a le moins de monde, avec Bordeaux, parce quon na jamais tourné là-bas non plus.
Question pour changer : Quel est le dernier concert auquel vous ayez assisté ?
Cétait à New York. Une belle salle, le Blender, qui reçoit un peu comme lElysée Montmartre. Cétait des blacks qui faisaient du métal, des afros-punk. Plutôt surprenant mais très bon concert.
Vous voulez ajouter quelque chose avant de conclure ?
On espère quon va bien samuser dans cette petite salle. Ce soir, on va poser un jalon, pour revenir avec un public plus nombreux plus tard...
Interview done by Rockingirl
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